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Portrait #8

Jeremie STUTZ

A chaque mois, son moi …

À la rencontre de Jérémie STUTZ,

Jérémie, peux-tu te présenter ?

Jérémie Stutz, 44 ans, papa de 3 enfants et chargé de missions sur la parentalité, le numérique et le développement associatif pour l’OPAL depuis mars 2022. Je fête mes 1 ans…

Tu as été recruté par l’O.P.A.L., comment cela s’est passé ?

Et bien en plusieurs étapes. On se connaissait avec l’OPAL via l’AFL de Lipsheim que j’ai accompagné dans la création de l’Espace de Vie Sociale. Du coup, beaucoup de franchise et de simplicité.

J’avais envie de rejoindre une association dynamique, porteuse de valeur et qui va de l’avant. Très vite un rapport de confiance s’est installé, j’avais envie de tout ça ; de la clarté, de la franchise, de la confiance et réaliser des projets pour les enfants et les familles.

Je me souviens du tout premier contact avec Pierre Boesch, le directeur, lors d’une réunion de travail et j’étais vraiment surpris et je me suis demandé « c’est du lard ou du cochon ? ».  Finalement, aucune esbroufe !

Tes premières impressions et tes premiers contacts avec les équipes du siège ?

C’est incroyable autant de diversité, de parcours qui se retrouvent derrière les mêmes valeurs, projets et dynamique.

Chacun et chacune a envie de faire au mieux que ce soit des choses modestes ou très ambitieuses.

Et même si le quotidien est bousculé, on n’a pas forcément le temps de se poser mais quand ils prennent le temps, c’est réel, ils sont présents.

Tu assures les missions spécifiques pour l’O.P.A.L., après ces premiers mois quelles sont tes premières impressions ?

Beaucoup de possibles. J’ai à cœur de ne pas me censurer que ce soit dans ma vie perso et pro. Il y a la même idée à l’O.P.A.L.. On ose !

J’ai un poste très particulier qui vient en appui des équipes et des associations membres pour monter des projets ou les soutenir à les monter. Plus spécifiquement sur la parentalité et le numérique où par exemple il y a beaucoup de besoins, d’attentes et avec un monde qui bouge vite et beaucoup, on peut être amené à baisser les bras, se censurer et se dire « bah à quoi ça sert ? » .

J’aime beaucoup cette énergie d’oser et d’être à l’écoute de ce qui se vit sur le terrain par les enfants, les familles, les pros aussi !

Les « Opaliens » aiment à dire que la solidarité et l’appui du siège vers les directeurs est quelque chose de présent, quel est ton avis ?

Oui je trouve aussi. On la voit à pleins de niveaux et c’est quand il faut aider, soutenir, appuyer ou juste être présent, c’est naturel, rapide et ça ne pose aucun problème ou tensions.

C’est aussi une façon de vivre son travail. Il n’est pas toujours simple et facile mais il est solidaire.

Professionnellement, comment appréhendes-tu la situation sanitaire et sociale actuelle ?

Elle est complexe. On se rend compte qu’il n’y a aucune réponse évidente, facile et rapide.

Pourtant les problèmes sont majeurs et instantanés. Difficile de prendre le temps et de s’adapter dans un contexte où on a l’impression d’avoir de moins en moins le temps.

J’essaie d’apporter des réponses mais en prenant le plus de temps possible à écouter la question ou les besoins.

En ce début d’année scolaire, beaucoup ont éprouvé des difficultés pour « se relancer dans l’animation » parce qu’ils sont submergés par les contraintes de recrutement … As-tu un avis ?

On doit se créer des « bulles », des espaces où on peut respirer, voir autrement et prendre du plaisir. Je prends l’image d’un océan de contraintes sous l’eau. On le dit souvent « avoir la tête sous l’eau ». Je crois que l’enjeu c’est se créer sa bulle, ça n’efface pas l’océan de contrainte mais ça permet de respirer.

On ne maitrise pas tout mais on peut continuer à nager et je suis convaincu que la mer cesse toujours de s’agiter et qu’à ce moment on doit pouvoir remonter à la surface et profiter du soleil.
Je l’ai souvent expérimenté par le passé ailleurs.

L’association O.P.A.L. aime rappeler ses valeurs : l’exigence, sa proximité et son humanisme, qu’en penses-tu ?

Ce n’est pas juste des mots en l’air. C’est très quotidien à l’O.P.A.L. je le vérifie tous les jours avec mes collègues ou dans les projets que l’on monte. Etre exigeant c’est la moindre des choses qu’on doit pour les enfants et les familles.

La proximité c’est tout simplement un art de vivre pour nous permettre de mieux se comprendre. L’humanisme, c’est sans doute ce qui m’a attiré à l’O.P.A.L. sans que je m’en rende compte.

C’est le liant entre les collègues et ce qu’on souhaite transmettre dans nos périscolaires ou nos interventions. Considérer chacune et chacun comme essentiel grâce à ses différences.

Un vœux « professionnel » pour 2023 ?

Ben, que nous ayons à cœur de construire des projets respectueux. On doit prendre soin des autres et dans nos projets aussi.

Oser, prendre soin et rester proche.

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